Une nuit de tempête …
Auteur : Ze Lamelie
Série dont est tirée la fiction : Les Vacances de l'amour
Rating : tout public
Disclaimer : les personnages appartiennent à Jean Luc Azoulay
Note :la première partie est la Participation au concours n°5 annulé
C’était la tempête à Love Island, Jeanne se retrouvait seule à la cabane car Nicolas et José étaient partis à Anguilla pour un charter, elle avait tout calfeutré mais elle n’était pas rassuré. Soudain elle entendit quelqu’un frappait à la porte.
*
Elle prit la batte de base-ball que gardait toujours Nicolas et cria : Qui est-ce ?.
Christian : C’est moi, Christian
Jeanne : Christian, mais qu’est-ce que tu fais là ? Tu es trempé.
Christian : Je me suis laissé surprendre et j’étais près d’ici , je me suis dis que je viendrais ici le temps que ça se calme.
Jeanne : Tu as bien fait, tiens voilà de quoi te sécher.
Jeanne lui tendit une serviette.
Christian : Merci. C’est dingue comme le temps change vite.
Jeanne : Oui, c’est vrai.
Christian : Tu es toute seule ?
Jeanne : Oui, Nicolas est à Anguilla avec José.
Christian : Tu as pas peur de ce temps ?
Jeanne : Non, j’ai l’habitude.
Christian sentant que Jeanne mentait : Tu es sûr.
Jeanne : Bon, ok, je suis pas très rassuré. Mais je nierais te l’avoir dit.
Christian : D’accord. Tu aurais pu aller chez les filles ou chez Béné et Jimmy non ?
Jeanne : Non, pas envie de les déranger et puis comme tu l’as dit la tempête est arrivé très vite.
Soudain un grand coup de tonnerre, les fit sursauter. Jeanne se blottit contre Christian.
Christian : Je croyais que tu avais pas peur.
Jeanne : Te moques pas.
Christian : Je me moques pas je t’imaginais pas avoir peur c’est tout.
Jeanne : Oui, mais en même temps on se connaît peu.
Christian : C’est vrai.
Jeanne : Je sais ce que m’a raconté Nicolas sur toi.
Christian : Ah j’ai peur.
Jeanne : Non, ça va. Il t’a toujours considéré comme un frère, tu sais. Il est content que tu sois là.
Christian : Pour moi aussi, c’est comme un frère. J’aurais jamais du partir comme je l’ai fais à l’époque.
Jeanne : Oui, mais il faut faire des erreurs dans la vie, le principal c’est que tu le saches aujourd’hui que tu n’aurais pas du.
Christian : Oui, tu as raison. Il a de la chance de t’avoir.
Jeanne : Merci. Je sais pas.
Christian : Tu dis ça à cause d’Hélène ?
Jeanne : Oui, en partie, leur lien est encore fort et je sais pas si je peux lutter contre ça.
Christian : C’est toi qu’il aime aujourd’hui, il est heureux avec toi. Arrête de penser ça. Tu es une femme géniale, sincère, indépendante, belle. Franchement tu veux que je te dises quelque chose si tu étais pas avec Nicolas. J’aurais pu craqué pour toi.
Jeanne génée : Merci. Tu es toi aussi pas mal, et j’aurais pu craqué pour toi aussi.
Christian et Jeanne se turent. Ses révélations les avaient tous les deux troublées. Pendant ce temps dehors, la tempête continuait de faire rage. La cabane bougeait. Jeanne se rapprocha de Christian. Il la serra dans ses bras. Jeanne se serra un peu plus contre lui. Jeanne et Christian se regardèrent. Leurs visages se rapprochèrent, leurs lèvres se frôlèrent. Puis Jeanne s'éloigna, non, elle ne pouvait pas. C'était juste la tempête et le fait d'être seule, c'était Nicolas qu'elle aimait.
Christian : Je … je suis désolée.
Jeanne : Ce n'est rien, on s'est laissé emporté.
Christian : Oui ce n'est rien.
Mais tous les deux étaient troublées par ce qui s'était passé. Puis à nouveau un coup de vent fit bouger la cabane et fit sursauter Jeanne et Christian qui se retrouvèrent à nouveau dans les bras l'un de l'autre. Leurs visages se rapprochèrent à nouveau et leurs lèvres se rencontrèrent. Leurs sens s’embrasèrent alors et ils s’embrassèrent avec plus de fougue, ils sentirent leurs corps frissonné. Le désir se fit de plus en plus fort. Christian passa ses mains sous le tee-shirt de Jeanne et commença à la déshabiller. Jeanne en fit de même avec Christian. Christian embrassa le corps de Jeanne et l’allongea sur le lit. Jeanne embrassait aussi le torse de Christian. Ils n’étaient plus qu’un. En plein cœur de la tempête, un cri, le cri de jouissance de Jeanne se fit entendre.