Celui qui avait lu la lettre.
Auteur : Ze Lamelie
Série dont est tirée la fiction : Friends
Rating : tout public
Résumé : Aprés que Monica a fait les boutiques avec Julie, dans la saison 2 , Rachel décide de retourner chez ses parents , en laissant à Monica une lettre
Disclaimer : les personnages ne m'appartiennent pas mais appartiennent aux créateurs de la série
Note : Cadeau de noël d'une amie , qui voulait que Rachel parte aprés que Monica soit aller faire les boutiques avec Julie, en laissant une lettre et que Ross lise la lettre et sache qu'il est aimé de Rachel.
Cher Monica,
Je suis partie, je ne pouvais plus supporter ma vie,, de voir Ross avec Julie, de voir l'homme que j'aime avec une autre, et de savoir que tu fais du shopping avec elle ,qu'elle te vole à moi en plus de m'avoir voler Ross . Et puis je n'en peux plus d'être serveuse , de pas avoir de réponse aux CV que j'envoie, j'ai l'impression que rien ne va dans ma vie, rentrer chez mes parents c'est sans doute le mieux pour moi, au moins là je ne serais pas malheureuse , je me laisserais porter. Vous allez me manquer mais c'est mieux ainsi. Au revoir.
Rachel Monica regardait la lettre, elle se sentait tellement coupable d'avoir fait ça, de n'avoir pas compris Rachel. Il fallait qu'elle trouve une solution pour faire revenir Rachel. Elle demanda à ses amis de la rejoindre chez elle, pour voir s'ils avaient une solution pour la faire revenir.
Monica : Voilà Rachel est partie , elle m'a écris une lettre , elle est repartie chez ses parents, j'ai besoin de vous pour m'aider à la faire revenir.
Joey : On la kidnappe et on la force à rentrer avec nous
Chandler : Oui et aprés on la séquestre , non mais Joey ça va pas bien.
Monica : Une autre idée ?
Phoebe : Tu lui présentes des excuses , après tout c'est de ta faute. C'est toi qui a fait du shopping avec une autre.
Monica : Oui mais c'est pas la seule raison pour laquelle elle est partie, elle n'aime pas son boulot, elle en peut plus
Chandler : Si on connaissait du monde dans la mode, on pourrait lui trouver du boulot.
Pendant ce temps-là , Ross était assis à la table de la cuisine, Monica avait laissé la lettre et Ross était en train de la lire, Rachel l'aimait. Elle ne supportait pas de le voir avec Julie. Mais … ce n'était pas possible, c'était un cauchemar.
Monica : Ross ? Ici la terre ? Tu me reçois ?
Ross : Rachel m'aime et vous étiez au courant ? Pourquoi vous m'avez rien dit ?
Monica : Tu étais heureux avec Julie, on ne pouvait rien te dire.
Ross : Je vais aller voir Rachel, il faut que je lui parle.
Monica : Non, attends, tu es avec Julie, tu peux pas aller lui parler si c'est pas pour lui dire quelque chose qu'elle veut entendre. Elle ne peut pas te voir avec Julie, c'est trop dur pour elle, laisse lui du temps.
Ross : Je … Tu as raison. Mais je …. l'ai tellement aimé , je ne peux pas la laisser partir comme ça.
Monica : Je comprends, mais avant tu dois savoir si tu aimes Julie ou si tu n'as pas oublié Rachel. En allant la voir, tu risques de faire quelque chose qui n'est bon ni pour toi ni pour elles.
Ross : Oui, tu as raison.
Ross rentra chez lui, déboussolé. Julie était là, il lui dit seulement que Rachel était parti sans dire les raisons. Mais Julie voyait bien que ça n'allait pas.
Julie lui demanda : Je sais que tu aimes beaucoup Rachel. Mais Réponds-moi, tu es amoureux d'elle ?
Ross : Je … Je ne sais plus. Quand je t'ai rencontré , je pensais avoir oublié mes sentiments pour elle mais là je sais plus.
Julie : Tu sais quoi ? Je vais rentrer chez moi, vu l'état dans lequel tu es, il est évident qu'elle compte encore pour toi et que tu es toujours amoureux d'elle. Tu sais quoi, va la retrouver.
Ross : Je ne sais pas ou j'en suis , je t'aime tu sais.
Julie : Plus qu'elle ?
Ross : ….
Julie : Tu as ta réponse.
Julie s'en alla. Ross resta prostré sur le canapé un moment. Mais Julie avait raison, il aimait encore Rachel. Il devait aller la voir, il ne pouvait pas vivre sans elle. Il acheta des fleurs. En arrivant chez elle, il était nerveux, il ne savait pas ce qu'il allait lui dire.
Ross sonna chez elle, le père de Rachel ouvrit.
Le père de Rachel : Qu'est ce que vous faites ici? Rachel ne veut pas vous voir, vous êtes pas avec votre copine, là Lili ….
Ross : Julie et … non c'est terminé. Je voudrais vraiment parler à Rachel, s'il vous plait.
Rachel avait entendu les eclats de voix : Ross mais … qu'est ce que tu fais là ?
Ross : Je veux te parler, s'il te plait
Rachel : C'est bon, Papa. Tu peux nous laisser.
Une fois son père éloigné.
Rachel : Je t'écoute.
Ross : Je.... j'ai lu ta lettre à Monica et …. je me suis rendu compte que je pouvais pas te laisser partir , que je t'aimais , que je t'ai toujours aimé. C'est fini avec Julie. J'étais avec elle juste parce que j'étais persuadé que je n'aurais jamais aucune chance avec toi. J'étais persuadé que tu me voyais comme un ami rien de plus. Quand j'ai lu ta lettre , ...j'ai eu un coup. Je … ne savais plus ou j'en étais.
Rachel : Je...Tu me dis que tu m'as toujours aimé , mais j'ai eu très mal de te voir avec Julie, de voir Monica sympathisé avec elle. Qui me dit que tu changeras pas d'avis à nouveau. J'ai pas envie de souffrir Ross. J'en peux plus de souffrir.
Ross : Je t'aime Rachel et je vais te le prouver. Il s'approcha d'elle et l'embrassa. Rachel ne put résister au baiser.
Malgré ses doutes, elle savait au fond d'elle-même que c'était lui l'homme de sa vie.
Rachel : D'accord, tu as gagné. Je vais chercher mes affaires et je repars avec toi.
Ross : Attends , je vais t'aider.
Ross et Rachel repartirent enlacés , portant les valises de Rachel.
En arrivant à l'appartement de Monica, Monica enlaça sa meilleure amie.
Monica : Oh Rachel , je suis désolée. Je n'aurais pas du.
Rachel : Mais non, ne le sois pas, sans ça , on se serais pas trouvé Ross et moi. Donc Merci.
Ross : Oui, merci.
Ross et Rachel enlacèrent Monica. Puis les autres arrivèrent et enlacèrent Rachel. Tous heureux de la retrouver.
Aprés les deux amoureux partirent fêter au restaurant leurs retrouvailles avant de passer la soirée dans les bras l'un de l'autre.
FIN.
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l opération de Noël c est toujours le top.