L'amour emporte tout
Auteur : Ze Lamelie
Série dont est tirée la fiction : Hélène et les garçons
Rating : tout public
Disclaimer : les personnages appartiennent à Jean Luc Azoulay
Note : Fic commençait il y a 4 ans même peut être plus tellement contente de l'avoie enfin fini :mrgreen: Bénédicte regardait l’homme étendu à coté d’elle dans le garage, il était beau et dans ses bras elle s’était sentie heureuse comme jamais elle ne l’avait été, mais ils n’auraient pas dû. Elle n’aurait pas du craquer. Elle se rhabilla. Sébastien alors se réveilla.
Sébastien : Tu t’en vas ?
Bénédicte : Oui, on aurais pas dû, pense à José et Laly .
Sébastien : Tu crois vraiment qu’on va pouvoir oublier ce qui s’est passé cette nuit. J’ai aimé Laly c’est un fait mais toi tu es plus que ça, bien plus.
Bénédicte : Mais…
Sébastien : On va leur faire du mal, oui je sais, José est mon plus vieil ami. Mais rappelle-toi de pourquoi cette nuit est arrivé ?
Flashback
Quelques jours plus tôt
Bénédicte cherchait José et elle était arrivée au garage. Il n’y avait que Sébastien.
Bénédicte : José n’est pas là ? Il m’avait dit qu’il répétait.
Sébastien (mentant pour couvrir José ) : Il va revenir. Il est allé faire une course au magasin de musique.
Bénédicte (en s’asseyant sur le canapé ) : Arrête Sébastien, ne mens pas. Il est encore avec une autre fille. Pourquoi je continue encore avec lui. Il ne fait que me tromper et me faire souffrir.
Sébastien (l’enlaçant pour la consoler) : Il t’aime mais il ne le sait pas encore, et l’amour fait parfois souffrir tu sais.
Bénédicte : Parfois, j’aimerais qu’il soit plus comme toi, plus gentil, droit et honnête.
Sébastien : Il est comme il est, tu sais et tu l’aimes comme ça.
Bénédicte : Oui peut-être. Merci d’être là.
Sébastien : De rien.
Bénédicte était toujours sérré contre lui, elle le regarda et Sébastien la regardait aussi. Leurs visages se rapprochèrent et leurs lèvres se frôlèrent, ils s’embrassèrent. Leur baiser fut intense mais très vite ils l’arrêtèrent se rendant compte qu’ils avaient fait une bêtise.
Bénédicte (en se levant et s’éloignant de Sébastien): Euh, on n’aurait pas dû.
Sébastien : Oui, on n’aurait pas dû. Il ne s’est rien passé d’accord.
Bénédicte : Oui, rien du tout.
Bénédicte était partie du garage rapidement.
Un peu plus tard, Bénédicte et Sébastien firent donc comme si rien ne s’était passé, mais plus tard dans la nuit. Aucun des deux n’étaient arrivés à dormir. Ils se retrouvèrent tous les deux au garage.
Bénédicte : Sébastien tu es là ? Mais…
Sébastien : Tu n’arrivais pas à dormir, toi non plus.
Bénédicte : Oui.
Sébastien : Moi, aussi je n’arrête pas d’y penser. Qu’est ce qu’il nous arrive ?
Bénédicte : Je n’en sais rien.
Sébastien s’approcha d’elle, elle était restée prés de la porte. Bénédicte aurait voulu partir mais le regard de Sébastien l’hypnotisait. Elle ne pouvait plus bouger et n’en avait plus envie.
Sébastien se pencha vers elle et l’embrassa, elle lui rendit son baiser. Un baiser qui fut de plus en plus passionné comme si leur vie en dépendait. Bénédicte pensant à Laly finit par arrêter le baiser.
Bénédicte : Non, faut que j’y aille, faut qu’on oublie.
Sébastien : Oui, tu as raison.
Ils partirent tous les deux du garage.
Le lendemain, Sébastien téléphona à Bénédicte très tôt d’une cabine, il avait besoin de la voir. Ils se retrouvèrent à prendre le petit déjeuner tous les deux en tête à tête.
Sébastien : Je voulais te parler, j’ai un mal fou à continuer avec Laly alors que tu fais parti de toutes mes pensées, de tous mes désirs. Je vais la quitter.
Bénédicte : J’ai un mal fou aussi à continuer avec José mais si on attendait un peu avant de leur dire d’être sur de ce qu’on ressent … Je … je ne veux pas leur faire du mal.
Sébastien : Tu as sans doute raison. Mais je suis sûr de ce que je ressens depuis que je t’ai embrassé. J’ai su que c’était toi.
Bénédicte : J’ai cette impression moi aussi mais si on se trompait.
Sébastien : Oui, laissons-nous un peu de temps.
Fin flashback Ils s’étaient laissé du temps et s’était retrouvé le plus souvent possible sans que les autres ne se rendent compte de quoi que ce soit au garage. Et ils avaient fini par craquer et passer la nuit ensemble la nuit la plus merveilleuse de leur vie.
Béné : Oui, je sais pourquoi cette nuit est arrivé mais on est en train de les trahir, Sébastien. Ils ne savent rien pour l’instant mais on est en train de leur faire du mal. Je t’aime, je sais que je t’aime mais je ne peux pas continuer comme ça.
Sébastien : Je sais, on ne peut pas continuer comme ça. Il faut qu’on les quitte. Et après on partira tous les deux, ensemble. On pourra vivre notre histoire au grand jour.
Béné : Oui, tu as raison. Il faut qu’on les quitte et qu’on parte.
Sébastien embrassa Bénédicte, ils partirent chacun de leur côté pour rompre et ils étaient convenus qu’ils se retrouveraient à la gare le lendemain avec leurs affaires.
Béné en rentrant chez elle, prit une grande respiration, et ouvrit la porte, elle allait devoir rompre avec José. Elle savait qu’il réagirait mal et ne comprendrait pas.
José l’attendait : Salut ma chérie.
Béné : José , il faut qu'on parle.
José : Qu'est-ce qu'il y a ?
Béné : Je sais que tu m'as trompé et … moi aussi je t'ai trompé. Et je suis amoureuse de lui. Je te quitte José. Je sais que tu vas me dire que tu ne m'as pas trompé ou que cette fille ne comptait pas. Mais je ne suis pas comme toi et cet homme compte pour moi , j'ai lutté contre les sentiments que j'éprouvais mais je l'aime j'y peux rien. C'est terminé José.
Elle entassa quelques affaires.
José : Mais non ça ne peut pas être terminé Et qui c'est ?
Béné : ça ne changerait rien que tu saches qui c'est. C'est terminé.
Je prendrais le reste de mes affaires plus tard. Je m'en vais. Tu diras au revoir aux autres pour moi.
Pendant ce temps, Sébastien avait donné rendez-vous à Laly devant la résidence universitaire.
Laly : Sébastien , qu'est -ce qu'il y a ?
Sébastien : Je... Je ne sais pas comment te dire ça , mais je ne t'aime plus, je suis tombée amoureux d'une autre. J'ai voulu croire que ce n'était pas vrai que c'était toi que j'aimais mais non, c'est elle que j'aime. Je suis désolée de te faire subir ça. Mais je ne pouvais pas continuer à te mentir.
Laly : Mais … non ce n'est pas possible. Mais qui ?
Sébastien : Peu importe qui , l'amour ne se commande pas, tu sais. Quand il est là, tu n'y peux rien, il t'emporte , il emporte tout sur son passage peu importe à quel point tu veux lutter contre. L'amour emporte tout.
Laly voulut le frapper. Sébastien l'arrêta et parti.
Il rentra à la chambre et commença à prendre ses affaires.
Nicolas : Tu es sure de toi ? Tu pars , tu quittes tout comme ça ?
Sébastien : Oui, je suis désolé. Mais je sais qu'on ne peut pas être ensemble tous les deux si on reste là. Pas tout de suite en tout cas, on reviendra peut être.
Nicolas : Tu ne veux pas me dire qui c'est ? Même à moi ?
Sébastien : C'est Béné , je sais je sais , mais on y peux rien c'est comme ça. Occupe toi de José, je sais qu'il est entre de bonnes mains avec toi.
Nicolas : Je ne sais pas quoi dire mais tu vas me manquer mec.
Sébastien : Toi aussi.
Sébastien et Nicolas se serrèrent dans les bras.
Sébastien rejoignit Béné et ils partirent en Bretagne d'abord chez les parents de Béné puis ils s'installèrent vers la Rochelle.
Ils finirent par retourner à Paris de temps en temps, Laly et José ne leur en voulait plus et avaient tous les deux trouver quelqu'un mais ils restèrent à la Rochelle. C'était leur vie maintenant.