Quand tout bascule

Auteur : Ze Lamélie
Série dont est tirée la fiction : Le miracle de l'amour
Rating : tout public
Disclaimer : les personnages appartiennent à Jean Luc Azoulay
Note : Fic écrite pour Volca pour l'opération de Noël d'un autre forum


José avait suivi Laly dans la forêt pour chercher de l'or, mais bien sur ils n'en avaient pas trouvé.

José : Mais pourquoi je t'ai suivi , et pourquoi as-tu acheté ce pendule , tu sais bien qu'il y a pas d'or en France.

Laly : Je l'ai acheté … pour chercher … , elle se rendit compte qu'elle ne pouvait pas lui dire la vérité , de l'or ..

José : Voilà …

Laly : Tu aurais du regardé le chemin pour retourner à la voiture.

José : Toi aussi.

Laly : Moi, je regardais le pendule enfin.

José : Je me demande pourquoi j'ai été assez bête pour te suivre

Laly : Moi aussi

José : Je me demande vraiment ce que Séb te trouve.

Laly : ah oui, hé ben j'en ai autant à ton égard figure toi , Béné a bien fait de partir.

José : Tu sais quoi , va te faire voir , je m'en vais.

Laly : Toi aussi va te faire voir, j'en ai marre de toi.

José et Laly se faisaient face , fulminant de rage, ils finirent par s 'embrasser.

Laly : … C'est n'importe quoi.

José : .. Oui.

Laly : On continue, il faut qu'on rentre à la voiture.

José : Là au moins on est d'accord.

Soudain Laly se tordit la cheville.

Laly : Et voilà , je peux plus marché.

José : Attends, je vais te porter.

Laly : Tu es sûre.

José : Oui, toute façon on a pas le choix si on veut rentré avant la nuit.

José la prit dans ses bras et là leurs regards se croisèrent et à nouveau, ils s'embrassèrent.

José : On ne devrait pas.

Laly : Non..

Mais ils continuèrent de s'embrasser et ils finirent par faire l'amour dans la forêt, intensément, tendrement, leurs corps se découvrirent.

Laly :  On n'aurait pas dû.

José : Oui...

Laly : Ce qui s'est passé dans la forêt , reste dans cette forêt.

José : D'accord.

Ils se rhabillèrent et il la porta jusqu'à la voiture. Il l'installa à l'arrière pour qu'elle puisse allonger sa jambe. Mais alors qu'il voulait s'éloigner pour aller prendre le volant. Elle l'attira à elle pour l'embrasser.

Laly : Une deuxième fois avant qu'on n'en parle plus.

José : … J'en meurs d'envie mais..

Laly le fit taire avec un baiser et ils firent l'amour dans la voiture. Ils finirent par rentrer à la maison.

Laly retrouva Sébastien et José se rendit compte qu'il était jaloux. Il essaya de ne pas y penser. Béné revint mais repartit pour l'Australie.

José se rendit compte que ça lui faisait pas aussi mal qui l'aurait cru, il avait plus mal de voir Laly avec Sébastien. Il arrêtait pas de penser à ce qu'il s'était passé dans la forêt et dans la voiture. Mais Sébastien est son meilleur ami, il devrait oublier tout ça. Laly aussi y pensait et Béné était parti,e elle voulait être là pour lui.

Elle entendit José pleurait dans sa chambre.

Laly frappa à la porte : José c'est Laly, je peux rentrer.

José : … va retrouver Sébastien.

Laly rentra : C'est à cause de Béné, t'inquiète pas, elle va revenir, elle t'aime.

José : Ce n'est pas pour ça … Je n'arrête pas de penser à … ce qu'il s'est passé entre nous … mais tu aimes Sébastien. …. Je devrais partir moi aussi.

Laly : Non .. ne part pas,  j'y pense moi aussi. … Je sais plus ou j'en suis.

José l'embrassa et l'attira à lui, elle se laissa faire puis pensant à Sébastien qui dormait dans la chambre à côté. Elle arrêta le baiser.

Laly : Je ne peux pas, il faut que j'aille retrouver Sébastien. Je …

José : Je sais ….

Ils se séparèrent et Laly alla retrouver Sébastien mais elle n'arrêtait pas de penser à José.

Le lendemain, elle décida de rester à la maison, elle fit semblant d'être malade. José comprend et dis aux autres qu'il a une course à faire qu'il arrivera en retard à la répétition.

Il reste avec Laly, ils s'embrassent et se retrouvent à faire l'amour dans la chambre de José.

Laly : J'ai .. pas envie d'arrêter.

José : Moi non plus.

Laly : Il faut que je quitte Sébastien.

José : Tu es sûre de toi ? Et si … ça ne marche pas entre nous.

Laly : Je ne peux pas continuer comme ça.

José : .. On va devoir quitter cette maison.

Laly : Oui, mais on trouvera notre petit nid à nous.

José : Tu crois vraiment que ça va marcher entre nous ?

Laly : J'en sais rien mais je me dis que si ça se trouve , on se faisait tourner en bourrique car on n'en avait envie depuis longtemps. On ne s'est pas disputé depuis.

José : Peut être mais on a quand même des caractères tous les deux.

Laly : J'ai confiance, on y arrivera.

José : J'ai envie de te faire confiance.

Laly : Maintenant il faut qu'on se rhabille, si on veut pas qu'on nous surprenne.

José : Oui, tu as raison. Je vais commencer à faire mes valises.

Laly : Moi aussi, comme ça une fois qu'on l'aura dit, on pourra partir tout de suite.

Ils s'embrassèrent pour se donner du courage avant de tout emballer.  Sébastien et les autres arrivèrent, ils virent direct les valises dans le salon, ils ne comprenaient pas.

Sébastien : Qu'est ce qu'il se passe ?

Laly : Viens Sébastien, il faut que je te parle.

Sébastien la suivit dans leur chambre.

Sébastien : Qu'est ce que tu as de si important à me dire ?

Laly : Je … m'en vais , … Je suis tombé amoureuse de … José , ça nous est tombé dessus, on ne l'a pas voulu. Mais on craqué et on ne peut pas faire comme si ça n'existait pas. Je ne peux pas te mentir.

Sébastien : Mais non … ce n'est pas possible.

Laly : Si, j'espère sincèrement que tu trouveras quelqu'un qui t'aimeras mieux que moi et comme tu le mérites.

Sébastien : Va t-en. …

Elle laissa seule Sébastien puis descendit voir les autres. José les avaient mis au courant.

Laly : Occupez- vous de lui, il le mérite. A Apollon : Veille sur eux et surtout sur Sébastien, elle l'embrassa une dernière fois.

José et Laly partirent pour leur nouvelle vie, un nouveau départ.

Sébastien était mal, les filles l'aidèrent comme elles pouvaient, Jimmy aussi,  mais il avait perdu à la fois sa femme et son meilleur ami. Quand Béné rentra d'Australie, les autres la mirent au courant. Sébastien la prit dans ses bras. Ils avaient tous les deux perdus ceux qui comptaient le plus mais dans leur malheur, ils étaient là l'un pour l'autre.

FIN.