De la Trahison peut naître l'amour.
Auteur : Ze Lamelie
Série dont est tirée la fiction : Hélène et les garçons
Rating : tout public
Disclaimer : les personnages appartiennent à Jean Luc Azoulay
Bénédicte ne savait pourquoi elle se rapprochait de Christian, Il était tellement différent avec elle. Tellement différent de José aussi. Mais pouvait-elle vraiment faire ça à Johanna. C’était son amie. Elle ne pouvait pas la trahir. Mais elle aimait Christian bien plus qu’elle n’aurait voulu se l’avouer. Elle ne pouvait pas faire de mal à José. Mais il fallait qu’elle le quitte avant qu’il ne se passe quoi que ce soit entre eux.
Christian lui aussi se posait des questions. Bénédicte était tellement belle, merveilleuse et douce tellement différente de Johanna. Elle l’étouffait tellement parfois Johanna. Mais il ne pouvait pas trahir José. C’était son ami. Mais pourtant il ne pouvait passer outre ses sentiments pour Bénédicte. Il pensait à elle bien plus qu’il ne pensait à Johanna. La meilleure chose qu’il avait à faire c’était de quitter Johanna avant qu’il se passe quoi que ce soit avec Bénédicte.
Il décida de rompre avec Johanna. Il l’appela et l’invita au garage.
Johanna en lui sautant dessus : Oh mon cricri d’amour.
Christian : Johanna arrête j’ai quelque chose à te dire.
Johanna : Qu’est ce qu’il y a ?
Christian : Voilà je suis tombé amoureux de quelqu’un d’autre, je ne peux pas faire semblant donc je te quitte.
Johanna : Quoi ? Quoi ? Mais ce n’est pas possible ? Qui c’est ?
Christian : ça ne sert à rien de savoir qui c’est. Je l’aime c’est tout.
Johanna : Oui tu as raison.
Christian : Je suis désolé c’est comme ça mais je voulais te le dire. Je ne voulais pas te tromper.
Johanna : Oui tu as raison.
Et elle partit, elle rentra en pleurant à la chambre.
Hélène en allant vers Johanna et la prenant dans ses bras : Qu’est ce qu’il y a ma Johanna ?
Johanna : Christian m’a quittée. Il m’a quitté il en aime une autre.
Hélène : Oh ma Johanna.
Elles s’allongèrent sur le lit et Hélène l’a pris dans ses bras pour la consoler.
Johanna : Hélène, pourquoi il m’a fait ça, pourquoi ?
Hélène : Je ne sais pas ma Johanna, les sentiments ne se contrôlent pas, c’est la vie.
Bénédicte, elle aussi avait décidé de quitter José.
Elle lui avait demandé de venir à son appartement.
José en voulant l’embrasser : Salut ma Belle.
Bénédicte se tournant pour ne pas qu’il l’embrasse : Salut
José : Qu’est ce qu’il y a ?
Bénédicte : Si je t’ai demandé de venir c’est parce que je voulais te dire que je te quitte.
José : Quoi mais c’est une blague.
Bénédicte : Non ce n’en est pas une, je te quitte, je ne t’aime plus, j’aime quelqu’un d’autre et je ne veux pas faire semblant et continuer de dire que je t’aime encore alors que ce n’est plus le cas.
José : Quoi mais qui ?
Bénédicte : Peu importe qui c’est je l’aime, j’aurais jamais cru cela possible mais voilà je te quitte je suis désolé.
Et José parti en claquant la porte. Bénédicte était soulagée. Comme un grand poids qu’on lui enlevé de la poitrine.
José était mal. Il alla retrouver Nicolas et Sébastien dans la chambre des garçons.
Nicolas en voyant la tête de José : Qu’est ce qu’il y a José ?
José : Bénédicte m’a quitté, elle en aime un autre.
Nicolas : Oh je suis désolé pour toi.
José : En même temps je devrais m’en prendre qu’à moi-même je n’ai pas toujours été correct avec elle. Mais si je tenais celui qui me l’a piqué ?
Nicolas : Allez calme toi, ça sers à rien de t’énerver. Tiens, tu restes là. Christian n’est pas là.
Bénédicte alla au garage. Il s’y était donné rendez-vous avec Christian.
Bénédicte rentra dans le garage. Christian couru vers elle.
Christian : Ma Béné, j’ai quelque chose à te dire, j’ai quitté Johanna parce que je t’aime et que je veux être avec toi.
Bénédicte : J’ai quitté José moi aussi je t’aime et je veux être avec toi.
Ils s’embrassèrent.
Christian : On devrait partir en vacances tous les deux. Le temps que José et Johanna se remettent de nos ruptures.
Bénédicte : Oui tu as raison. Et je m’en veux tellement de trahir Johanna comme ça. Elle a tellement été toujours adorable avec moi.
Christian : Moi aussi je m’en veux de trahir José. Il est un ami mais c’est comme ça, c’est la vie. L’amour ne se commande pas. Et je t’aime Bénédicte.
Et ils s’embrassèrent à nouveau et se serrèrent dans les bras l’un de l’autre surs d’avoir pris la bonne décision.
Ils partirent le lendemain en voyage. Christian avait laissé un mot à Nicolas au garage expliquant la situation. Ils espéraient que José et Johanna ne leur en voudrait pas. Il n’avait rien prémédité et ils préféraient partir pour éviter que José et Johanna ne souffrent encore plus en les voyant ensemble.
Nicolas ne savait pas en lisant la lettre ce qu’il devait faire. Les autres étaient là mais il ne dit rien. Devait-il dire à José et Johanna que Bénédicte et Christian les avait trahis ? Bien sur ils les avaient quittés mais pour un ami, la trahison est encore plus dure. Il imaginait la réaction de José et Johanna quand il saurait. Mais il imaginait sans peine aussi leur réaction s’il la leur cachait. Ils aimaient tellement ses amis. Pouvait-il leur faire du mal ? Nicolas dit qu’il avait une course à faire et parti, abrégeant la répèt.
Il appela Hélène et lui demanda de le rejoindre la cafèt. Johanna dormait. Laly veillait sur elle. Elle aussi elle avait mal, elle en voulait terriblement à Christian de faire ça à sa Johanna. Elle lui aurait arraché les yeux, si elle avait pu.
Hélène et Nicolas étaient à la cafèt.
Nicolas montra la lettre à Hélène.
Hélène elle aussi ne savait quoi faire. Elle était déçue quelque part par Bénédicte et Christian. Mais elle savait aussi que parfois les sentiments ne se contrôlaient pas. Johanna était sa meilleure amie, elle savait le mal que ça lui ferait de savoir Christian avec Bénédicte. Bénédicte en qui elle avait confiance. Et José, il allait vouloir casser la gueule à Christian. Ils avaient eu raison de partir. José et Johanna n’aurait pas supporté leur trahison. Ils supportaient le fait d’être quitté mais pas pour des amis. C’était difficile à supporter. Mais ils se devaient de le leur dire car le leur cacher c’était aussi les trahir un peu.
Hélène et Nicolas se séparèrent à nouveau. L’une pour retrouver Johanna dans leur chambre et lui dire en espérant trouver les bons mots qui feraient moins mal et l’autre pour retrouver José au garage et tout lui dire aussi. Lui aussi espérait trouver les bons mots qui feraient moins mal.
Pendant ce temps, Bénédicte et Christian arrivait dans le sud de la France, ils étaient dans un petit hôtel au bord de la mer. Ils pouvaient s’aimer et vivre pleinement ce qu’il ressentait l’un pour l’autre. Dans cette petite chambre ils posèrent leurs affaires et puis Christian s’approcha de Bénédicte et l’embrassa tendrement, passionnément. Ils tombèrent sur le lit et pour la première fois firent l’amour ensemble. Blottie au fond des ses bras, Bénédicte était heureuse pour la première fois de sa vie, elle le regardait dormir et n’avait pas envie de le réveiller, elle aurait pu passer sa vie à le regarder dormir. Elle tourna néanmoins la tête pour regarder la vue et la mer, elle était dans un cadre idyllique dans les bras de l’homme qu’elle aimait, elle avait l’impression de vivre un rêve éveillée et elle n’avait pas envie de se réveiller. Christian se réveilla et l’embrassa dans le cou, elle frissonna de plaisir.
Christian : Bonjour ma princesse.
Bénédicte : Bonjour mon prince.
Christian : Tu as bien dormi ?
Bénédicte : Bien sur, puisque j’étais dans tes bras.
Et elle l’embrassa, il répondit à son baiser. Leurs baisers se firent à nouveau passionnés et ils se laissèrent à nouveau emporter par leurs désirs. Et ils mêlèrent à nouveau leur corps pour ne faire plus qu’un l’un avec l’autre.
Pendant ce temps du coté d’Hélène et JohannaHélène après sa discussion avec Nicolas avait décidé de dire la vérité à Johanna, que Christian était partie avec Bénédicte. En arrivant à la chambre, elle ne savait toujours pas comment lui dire. Laly serrait Johanna dans ses bras. Elle avait arrêté de pleurer mais était toujours très triste. Et dire qu’elle allait lui faire encore plus mal. Hélène vint s’asseoir sur le lit de Johanna.
Johanna : Ah Hélène ça va ? Tu as l’air bizarre.
Hélène : C’est plutôt à toi que je devrais poser la question. Tu tiens le coup ?
Johanna : Oui. Mais si tu savais comme j’ai mal et elle éclata en sanglots dans les bras d’Hélène.
Laly s’éloigna consciente qu’elle devait rester toutes les deux.
Hélène : J’ai quelque chose à te dire Johanna, mais ça va te faire encore plus mal donc je ne sais pas comment te le dire.
Johanna : Qu’est-ce qu’il y a ? La fille qu’aime Christian c’est quelqu’un que je connais c’est ça ?
Hélène ne répondit pas
Johanna comprit que son silence était un aveu : Dis-moi qui c’est ?
Hélène : c’est … Bénédicte, il y avait une lettre au garage pour Nicolas.
Johanna : Quoi ...Bénédicte celle que je considérais comme mon amie, comment a-t-elle pu me faire ça ? Comment a-t-elle pu me trahir ?
Hélène : Je n’en sais rien. Elle est tombée amoureuse de lui c’est la vie.
Johanna : C’est une sale pouf, oui, elle m’a piqué mon mec sans penser une seconde à moi et à José. Pauvre José. Comment il va ?
Hélène : Nicolas doit lui dire en ce moment que Bénédicte est avec Christian.
Johanna : Pff ils me dégoutent tous les deux. Ils ne méritent même pas qu’on pleure pour eux. Tu sais quoi ce soir je vais aller prendre du bon temps en boite.
Hélène : Tu es sûre.
Johanna : Oui, je ne vais pas me morfondre pendant qu’eux prennent du bon temps.
Du coté de José et Nicolas Nicolas trouva José comme anesthésié dans le garage. Sébastien essayait de l’aider, de lui dire que tout s’arrangerait mais il avait le même air triste. Il ne fit pas attention quand Nicolas rentra, il ne fit attention que quand Nicolas s’installa à coté de lui sur le canapé.
José : Ah Nicolas, on va pouvoir répéter.
Nicolas : Attends José, j’ai quelque chose à te dire.
José en voyant la mine de Nicolas : Qu’est-ce qu’il y a ? Tu sais qui m’a piqué Béné c’est ça je le connais ?
Nicolas ne dit rien
José comprit : Oh non, c’est le nain c’est ça vu qu’il n’est pas là. C’est lui qui est partie avec Béné.
Nicolas eu du mal à articuler un Oui.
José : Le salaud, les immondes salauds. Ils nous ont trahis moi et Johanna. Quel petit con, moi qui le croyait mon ami. Et Bénédicte elle ne mérite même pas que je pleure pour elle, ce soir je vais aller prendre du bon temps en boite.
Nicolas : Tu es sur.
José : Oui, Bénédicte et Christian passe du bon temps en ce moment pourquoi je ne ferais pas la même chose.
Quelques heures plus tard, les filles passèrent au garage.
Laly et Sébastien et Hélène et Nicolas n’osèrent pas s’embrasser devant José et Johanna.
Johanna : Ne Vous inquiétez pas tout va bien vous pouvez vous embrasser. Tu es d’accord José ?
José : Oui, de toute façon pourquoi ça irait mal, ils vont bien ensemble, incapable de respecter l’amitié.
Johanna : Tu as entièrement raison, ce soir je vais en boite pour fêter ça.
José : Ah ben moi aussi. On ira ensemble alors.
Johanna : D’accord.
Les autres les regardaient mais ils savaient que la colère redescendrait et ils avaient peur de comment leurs amis seraient après.
Le soir venu, José et Johanna allèrent donc en boite.
Ils s’amusèrent et dansèrent jusqu’au bout de la nuit.
José raccompagna Johanna au bâtiment des filles.
Johanna : Merci José de m’avoir raccompagné et merci pour cette soirée. Ça m’a fait du bien.
José : A moi aussi.
Elle partit rejoindre son lit et tomba sur la photo de Christian sur sa table de nuit. Elle ne put s’empêcher de pleurer. Même si elle avait passé une bonne soirée, même si c’était un salaud. Elle ne pouvait l’effacer de son cœur. Elle rangea la photo dans le tiroir. Il fallait qu’elle l’oublie. Et elle finit par s’endormir.
José en rentrant chez lui regarda la photo de Bénédicte et lui aussi la rangea. Il ne pleura pas, mais lui aussi pensait encore à elle.
Pendant ce temps, Bénédicte et Christian vivait des vacances toujours aussi idylliques. Ils s’offraient des petits cadeaux. Bien sûr ils appréhendaient quand ils rentreraient mais pour l’instant ils profitaient du moment présent et de se balader main dans la main sur la plage, regarder le coucher du soleil dans les bras l’un de l’autre assis sur le sable.
Bénédicte : J’ai l’impression de vivre un rêve éveillé. C’est tellement beau et je suis tellement bien avec toi. J’aimerais rester ici tout le temps.
Christian : Et si on restait ici ?
Bénédicte : Tu es sérieux ? Et nos études, et nos amis ?
Christian : Oui je suis très sérieux, je n’ai jamais été doué pour les études et nos amis je ne suis pas sur qu’ils nous pardonneront.
Bénédicte : Tu crois vraiment qu’ils ne nous pardonneront pas.
Christian : Je pense que si avec le temps peut-être.
Bénédicte : Je pense qu’il faudra les affronter tôt ou tard.
Christian : Oui, tu as raison. Mais on est tellement bien tous les deux.
Bénédicte : Oui, mais ce sera aussi bien là-bas puisqu’on sera tous les deux.
Christian l’embrassa : Tu as raison, ma belle. Tout ira bien.
A Paris, José et Johanna sortaient de plus en plus souvent ensemble, ils apprenaient à se connaître et prenaient plaisir à passer du temps ensemble.
Un soir après avoir passé la soirée en boite et avoir pas mal bus, ils s’étaient retrouvés au garage.
Johanna : ça fait bizarre de se retrouver tous les deux ici
Johanna ne put s’empêcher de regarder la batterie. José surprit son regard.
José : Tu penses toujours à lui ?
Johanna : Oui, mais ça va mieux t’inquiète pas, je commence à me dire que c’est mieux comme ça. Et toi, tu penses à Béné ?
José : Plus autant qu’avant et je crois que je tombe sous le charme d’une autre fille dit-il en s’approchant de Johanna et en lui passant sa main dans les cheveux. Il approcha son visage de celui de Johanna et l’embrassa. Johanna répondit à ce baiser.
Johanna s’éloigna de José : Je pense qu’on a bu et que ce n’est pas une bonne idée.
José : Tu le crois vraiment
Johanna : Je ne sais pas. Mais je sais que je ne veux pas souffrir à nouveau.
José : Tu crois que je le veux ? Je ne le veux pas non plus.
Johanna : Tu penses vraiment que nous deux ça peut marcher ?
José : Pourquoi pas ? et promis je ne te ferais pas souffrir comme lui.
José embrassa à nouveau Johanna. Johanna l’embrassa aussi.
Johanna : Bon je vais rentrer les filles vont s’inquiéter.
José : Je n’ai pas envie de te quitter.
Johanna : Moi aussi. Par contre j’aimerais que ce qui se passe entre nous reste un peu secret, j’ai envie qu’on soit surs de ce qui se passe entre nous avant de leur dire.
José : Je suis sure de moi mais ok j’attendrai.
Il raccompagna Johanna devant la cité u et l’embrassa une dernière fois.
Le lendemain José et Johanna firent comme si de rien n’était mais ils se retrouvèrent après que tout le monde soit parti dans le garage.
José : J’ai cru mourir de pas pouvoir t’embrasser devant les autres.
Johanna : Moi aussi.
Ils s’embrassèrent et finirent par passer la nuit dans les bras l’un de l’autre.
Johanna se réveilla la première et réveilla José d’un baiser.
Johanna : Je dois y aller, les filles ont dû s’inquiéter.
José : Oui, tu as raison je vais ranger un peu. On se retrouve ce soir.
Johanna : Bien sûr.
Elle l’embrassa une dernière fois avant de partir.
Arrivés à la chambre, Johanna fit le moins de bruit possible pour rejoindre la salle de bains puis son lit. Laly ne l’entendit pas mais Hélène l’entendit. Elle avait compris depuis la veille et même peut-être avant pour José et Johanna mais ils sauraient bien assez tôt pour eux. Elle fit donc comme si elle avait rien entendu. Mais Johanna après être revenu de la salle de bains avant de se coucher, l’appela. Hélène faisant mine de se réveiller.
Hélène : Oui, Johanna.
Johanna : Je crois que je suis amoureuse de … José.
Hélène : Je suis contente pour toi.
Johanna : Tu crois que ça peut marcher entre nous ?
Hélène : Oui, bien sûr. Vous êtes deux personnes géniales, je ne vois pas pourquoi ça marcherait pas.
Johanna : merci Hélène.
Et Johanna et Hélène se recouchèrent.
Les jours passèrent.
José et Johanna avait fini par avouer à la bande ceux qui se passaient entre eux, ce que bien sûr tout le monde se doutait. Ils étaient tous content pour eux.
Bénédicte et Christian débarquèrent un jour que les autres étaient à la cafèt. Les deux remarquèrent tout de suite José et Johanna dans les bras l’un de l’autre. Ils eurent tous les deux un pincement au cœur. Ils approchèrent de leurs amis.
José : Ah mais tiens voilà le retour des traitres !
Johanna : José chéri, si ils ne nous avaient pas trahis, on seraient pas amoureux aujourd’hui.
José : Oui, tu as raison. On devrait les remercier.
Johanna : Allez asseyez-vous et racontez-nous vos vacances.
Bénédicte et Christian s’installèrent donc à la table de leurs amis, ravis qu’ils leur aient pardonné et heureux que José et Johanna soient heureux ensemble. Ils avaient eu un petit pincement au cœur en les voyant mais c’était juste parce que ça fait toujours quelque chose de voir quelqu’un qu’on a aimé avec quelqu’un d’autre mais en se regardant tous les deux et en les regardant. Ils étaient surs qu’ils avaient fait le bon choix.
FIN