Fallait pas jouer …
Auteur : Ze Lamelie
Série dont est tirée la fiction : Le Miracle de l'amour
Rating : tout public
Pairing : Béné/Christophe
Disclaimer : les personnages appartiennent à Jean Luc Azoulay
Bénédicte regarda José, elle allait lui pardonner pour Bernadette et lui revient avec une fille mais quelle idiote alors que Bernadette lui donna une gifle. Bénédicte se leva et sorti de la maison, elle ne pouvait pas rester une minute de plus en face de lui.
Christophe : Béné attends.
Il lui mit sa veste sur les épaules.
Béné : Merci. Tu peux m'emmener chez toi, je ne veux pas dormir à la maison cette nuit.
Christophe : D'accord. Je vais prévenir les autres.
Béné : OK.
Il rentra dans la maison et dit aux autres que Béné dormirait chez lui. Les autres étaient rassurés. Il retrouva Béné et ils allèrent donc chez lui.
Arrivé chez lui, Béné s'installa sur le canapé.
Christophe : je vais t'installer dans la chambre d'amis.
Béné : Christophe, pourquoi je suis idiote à ce point ?
Christophe : Tu n'est pas idiote, tu l'aimes et il t'aime. C'est juste son ego qui lui fait faire n'importe quoi.
Béné :J'en peux plus
Christophe : Je te comprends, je devrais le défendre, Je peux pas. Il a une fille extraordinaire qui l'aime et il fait n'importe quoi.
Béné : Merci, Christophe. Je peux te poser une question ?
Christophe : Bien sur
Béné :Tu plais clairement à Bernadette mais j'ai l'impression qu'elle ne te plaît pas ? Ou en tout cas que tu es pas intéressé ? Tu penses encore à Adeline ? Tu es pas obligé de me parler si tu veux pas...
Christophe : J'avais raison, tu es extraordinaire, tu vois clairement en moi plus que les autres. Effectivement Bernadette est mignonne et sympa mais voilà comme tu le dis, je pense encore à Adeline. Je sais que c'est fini mais il est parfois dur d'oublier ceux qu'on a aimés.
Béné : Tu sais, tu mérites de trouver quelqu'un qui t'aime sincèrement et qui te fera l'oublier.
Christophe : Merci.
Leurs regards se croisèrent, leurs visages se rapprochèrent et leurs lèvres se frôlèrent puis le baiser de timide devint plus intense. Christophe finit par arrêter le baiser.
Christophe : Je n'aurais pas dû. On ne peut pas faire ça.
Béné : Je vais aller me coucher. Bonne nuit.
Christophe : Bonne nuit.
Chacun alla se coucher dans sa chambre mais l'un comme l'autre eurent du mal à s'endormir. Le baiser les avaient troublés. Christophe ne voulait pas trahir José mais il ne pourrait pas résister à Béné si elle restait chez lui plus qu'une nuit.
Le lendemain, !'un comme l'autre firent comme si rien ne s'était passé. Christophe emmena Béné à la maison. Ils retrouvèrent les autres.
Un peu plus tard à la répétition, quand José arriva. Les garçons lui firent la morale. Mais José ne voulait rien entendre et disait que Béné n'était plus rien pour lui.
Christophe : Tu es sur, Béné , elle me plaît bien, donc si vraiment elle n'est plus rien pour toi, je vais essayer.
José : Vas- y, j'en ai plus rien à faire.
Christophe : Tu es sûr.
José : Oui, sur.
Christophe : D'accord, tu sais quoi, elle doit être chez Alfredo donc je vais aller l'inviter à dîner.
José : Fais comme tu veux.
Christophe sorti et alla donc chez Alfredo au moment où Bernadette essayait de faire la morale à José au local.
Chez Alfredo, il dit à Béné qu'il voulait la voir seule. Ils sortirent dehors.
Bénédicte : Tu voulais me dire quoi ?
Christophe : Je voulais t'inviter à dîner.
Bénédicte : Pourquoi ?
Christophe : A cause de José, j'ai voulu le provoquer pour le faire réagir.
Bénédicte : D'accord, mais en ami.
Christophe : Oui, bien sur.
Même si Christophe savait au fond de lui, que le baiser de la veille était encore dans sa tête mais ça restait la femme de José malgré tout, il devait se comporter en ami.
Pendant ce temps, José en fait qu'à sa tête et essaie de commencer à draguer ne sachant pas que Bernadette a fait courir un bruit pour qu'il ne trouve personne.
Le soir même, Christophe vient donc chercher Béné à la maison, Béné s'est fait belle , elle est habillée d'une magnifique robe bleue marine qui souligne sa belle silhouette, elle a un simple pendentif au tour du cou, une petite pochette brillante , et un petit boléro noir sur les épaules.
Christophe étouffe un waouh en la voyant, il se dit qu'il aura du mal à rester qu'un ami en face de Béné ce soir , ce dîner était une provocation au départ mais Béné lui plaîsait vraiment. Il essaya de reprendre une contenance, lui ouvrir la porte de la voiture, qu'il avait emprunté.
Il l'emmena dîner dans un restaurant bien loin de l'Alfredo's , un tout petit restaurant simple.
Il lui enleva sa veste.
Ils s'installèrent sur une table dans un coin retiré du restaurant.
Christophe : Béné, ça te va comme restaurant.
Béné ; Oui.
Christophe : Je devrais peut être pas te dire ça , mais tu es vraiment magnifique ce soir.
Béné : Merci , tu es très beau aussi , tu sais que j'adore quand tu as pas ta casquette. Tu as de magnifiques cheveux.
Christophe : Si tu me fais des compliments comme hier soir, je vais avoir du mal , à être qu'un ami tu sais. Béné , j'ai certes voulu provoquer José avec ce dîner, mais je crois que je lui ai pas menti, tu me plais vraiment.
Béné : Christophe , je …
Christophe : Non, ne dis rien, … Je n'aurais pas du t'en parler.
Béné : Attends, tu sais le baiser d'hier m'a beaucoup troublé. Et j'avoue que tu me laisses pas complètement indifférente mais je sais pas si c'est le bon moment.
Christophe : On verra, bon on commande.
Ils commandèrent à dîner et parlèrent de tout et de rien, ils ne s'étaient jamais vraiment retrouver seuls tous les deux à discuter, et ils parlent de leur vie, de leur enfance, de leur famille. Christophe parle notamment de son amitié avec Christian et Olivier à l'école de batterie. Comment Christophe et Christian avait tout de suite pris Olivier sous leur aile quand il était arrivé. Du coup, Béné comprit mieux son amitié avec Olivier. Il lui parla aussi beaucoup de sa ville Toulouse, et Béné de sa Bretagne natale. Ce qui les rapprochaient , c'était aussi leur attachement à leurs racines et à leur famille.
A la fin du dîner, ils retournèrent tranquillement à la voiture. Christophe prit le chemin de la maison pour ramener Béné. Il lui ouvrit la porte de la voiture et la suivit jusqu'à la porte.
Béné : Merci Christophe , j'ai passé une magnifique soirée.
Christophe : Moi aussi,
Son regard plongea dans les yeux bleus de Bénédicte, un regard qui la troubla comme la veille. Leurs visages se rapprochèrent et ils s'embrassèrent. Le baiser fut doux. Ils s'arrêtèrent puis s'embrassèrent à nouveau.
Béné : J'ai pas envie de rentrer.
Christophe lui prend la main et lui ouvre la porte de la voiture, il lui embrasse la main avant qu'elle rentre dans la voiture.
Christophe : On va où ?
Béné : Je sais pas, j'ai juste envie de rester avec toi.
Ils roulèrent dans la nuit , Christophe s'arrêta à Paris près du pont Alexandre III.
Christophe : Viens.
Béné lui prit la main , et ils arrivèrent sur le pont Alexandre III , de ce pont, on pouvait voir Paris et la Tour Eiffel , la Tour Eiffel et la ville illuminé.
Béné : C'est beau une ville la nuit.
Christophe : Surtout quand on est avec la bonne personne dit-il en la regardant, dieu qu'elle était belle et qu'il avait pas envie que la soirée et la nuit s'arrête. .
Ils s'embrassèrent devant cette magnifique vue puis retournèrent à la voiture. Ils se retrouvèrent chez Christophe.
Ils continuèrent de s'embrasser et commencèrent à se déshabiller, il l'emmena dans sa chambre.
Christophe : Béné, tu es sure.
Béné : Oui.
Ils se retrouvèrent au lit et lentement, tendrement, ils passèrent leur première nuit ensemble.
Christophe se réveilla le premier le lendemain matin, il regardait Béné, il avait du mal à croire qu'ils avaient passé la nuit ensemble. Elle était tellement belle et merveilleuse, jamais il n'aurait pensé que ça finirait comme ça.
Comment allait réagir José, s'il savait, il allait forcément le frapper. Il avait aussi peur que Béné regrette.
Béné se réveilla , elle le regarda , elle sentait ses doutes dans son regard. Elle l'embrassa.
Béné : T'inquiète pas, je ne regrette rien.
Christophe : Tu es vraiment parfaite.
Béné : Toi aussi, ça fait longtemps que je me suis pas senti aussi bien.
Christophe l'embrassa et la retourna, ils finirent par à nouveau ne faire qu'un. Ils se sentaient dans les bras l'un de l'autre comme seuls au monde , plus rien ne comptait autour d'eux.
Christophe : Je vais être en retard pour la répétition.
Béné : Désolée.
Soudain le sourire de Christophe disparut.
Christophe : Béné , tu crois que je dois dire la vérité sur nous deux.
Béné : Oui, on fait rien de mal. Je sais que tu as peur de la réaction de José. Mais c'est lui qui a fait n'importe quoi, c'est même lui qui t'a dit que tu pouvais être avec moi. On peut même le remercier d'ailleurs. Sans ça , on aurait sans doute jamais osé craqué l'un pour l'autre.
Christophe : Tu as raison, tu sais que je crois que je suis fou de toi.
Béné l'embrassa : Tu ferais mieux de te lever et t'habiller sinon tu n'arriveras jamais à la répétition.
Christophe : Oui, je me lève. Mais ça va être long sans toi.
Béné : Promis ce sera pas long, je viendrais à la répétition , juste après m'être changer à la maison, pour voir comment ça s'est passé avec les autres et José.
Christophe : D'accord , j'espère que je serais entier.
Béné : Les autres l'empêcheront de te frapper, et je serais ton infirmière.
Christophe l'embrassa : Effectivement vu comme ça.
Ils finirent enfin par se lever et s'habiller.
Christophe partit à la répétition et Béné à la maison pour se changer. Béné savait que les filles lui demanderait ce qu'il s'était passé avec Christophe. Elle avait un peu peur de la réaction d'Adeline car même si elle semblait l'avoir oublier ça restait son ex. Elle devait avouer qu'elle avait aussi très peur de la réaction de José face à ce qu'allait lui dire Christophe, Elle avait essayé de le tranquilliser mais ça avait été aussi pour se convaincre elle-même. C'était dur de revenir à la réalité, elle se sentait tellement bien , à l'abri et en sécurité dans les bras de Christophe. Elle aimait tellement la force qu'il dégageait et aussi sa fragilité. Elle avait clairement envie de le retrouver. Elle ne lui avait pas dit ce matin, mais elle aussi était folle de lui.
Christophe arriva à la répétition.
José :: Tu es en retard.
Christophe : Je sais, désolé. Les garçons je peux parler à José en tête à tête
Nicolas : D'accord, on attends dehors.
José : Alors comment c'est passé ta soirée ?
Christophe : Je vais pas te mentir, Béné et moi, on a passé une merveilleuse soirée et nuit. Au début j'ai juste fait ça pour te provoquer et te faire réagir mais j'ai complètement craqué pour elle, et même là je pensais encore la ramener chez elle après le dîner par respect pour toi. Puis arrivé devant la maison, on s'est embrassé et on a pas pu se quitter. Je suis fou d'elle et de tout ce qu'elle est et dégage. Je suis désolé José. Tu peux me frapper si tu veux.
José resta devant son synthé la tête basse : Et elle, elle ressent quoi pour toi ?
Christophe : Je peux pas parler pour elle, mais elle est entière, donc je pense pas qu'elle aurait craqué si elle ressentait rien.
José : Je vais pas te mentir, bien sûr que j'ai eu envie de te frapper, que j'ai mal mais je peux m'en prendre qu'à moi-même c'est moi qui t'ai poussé dans ses bras et qui ai fait n'importe quoi. Elle mérite mieux que moi et tu es parfait pour elle. Tu sauras la rendre heureuse comme je n'ai pas pu.
José vint vers Christophe et lui serra la main.
Christophe : ça va aller.
José : Oui, je vais faire avec, j'ai pas le choix. Fais rentrer les autres.
Christophe fit rentrer leurs amis.
Nicolas : ça va vous deux ? Apparemment il y a pas de sang sur les murs.
Christophe :Oui, on a parlé.
José : Oui, il sera un bien meilleur petit ami pour Béné que moi.
Nicolas à José : Tu es sur que ça va aller, que tu peux répéter ?
José : Oui ça va aller, la musique est le meilleur des remèdes pour ça .
Nicolas prenant sa guitare : Ok, allons-y , compte Christophe.
Christophe derrière sa batterie : 1,2,3, 4 …
Quelques minutes plus tard.
Béné arriva.
Béné : Je peux rentrer.
José : Oui, on s'est expliqué avec Christophe. Tu peux aller l'embrasser, tu en meures d'envie.
Béné alla embrasser Christophe derrière sa batterie. José essayait de ne rien montrer mais il se retourna pour cacher une larme qui coulait sur sa joue. Elle s'éloigna et s'installa sur le canapé. Elle essaya de ne pas rester trop proche de Christophe devant José.
Les filles arrivèrent. José en profita pour s'éclipser. Laly alla le retrouver.
Laly : José, attends.
José : Laisse-moi, je préfère être seul.
Laly : Je sais, tu sais quand Sébastien a retrouvé Linda. J'étais mal. Tu t'en souviens. Je sais ce que tu vis.
José : Mais tu en étais pas responsable.
Laly : Je pense que si, je m'éloignais de lui sans m'en rendre compte. Mais ce n'est pas ça que je voulais te dire. Je voulais te dire qu'on est là pour toi et surtout ne fais pas de bêtises.
Je sais ce qu'on peut faire quand on croit avoir tout perdu.
José : Merci Laly. Mais ça va aller, tu devrais aller retrouver les autres.
Laly : D'accord, je te laisse seul pour l'instant. Mais je rentrerais pour vérifier comment tu vas ? Tu sais comme je suis tétu.
José sourit : D'accord à tout à l'heure.
Il rentra à la maison et monta jusquà sa chambre, voir les photos de lui avec Béné, lui fit mal. Il entra dans sa chambre et s'allongea sur le lit et sanglota.
Laly retrouva le reste de la bande.
Christophe : Comment va José ?
Laly : Pas très bien , mais il veut être seul, j'irais le voir plus tard.
Béné et Christophe se regardèrent :
Christophe : On devrait peut être partir quelques jours, le temps qu'il se fasse à l'idée. Olivier me remplacera à la batterie.
Nicolas : Je sais pas
Laly : Je pense que ça peut l'aider. Je dis ça car j'ai eu beaucoup de mal à voir Sebastien et Linda ensemble quand on s'est séparés. Donc ça peut que l'aider de mettre un peu de distance.
Sébastien : Laly , je …
Laly : Ne t'inquiète pas, mon chéri. Il y a prescription. Mais ça peut aider et il aura besoin de nous pour l'aider à surmonter le chagrin d'avoir perdu Béné, faudra être là pour lui, car il peut faire le fort comme ça mais il a pris un gros coup sur la tête.
Béné : Bon on va aller chez Christophe, on va préparer notre départ. Je viendrais chercher mes affaires demain, durant la répet , quand José sera pas à la maison , je passerais vous dire au revoir chez Alfredo's.
Nicolas : D'accord , si vous êtes sur de vous.
Béné : Oui ça nous permettra à nous aussi de voir si on est pas allés trop vite tous les deux.
Christophe : Oui, c'est plus simple comme ça.
Béné et Christophe partirent du local et se retrouvèrent chez Christophe.
Christophe : José m'a fait de la peine, j'aime pas ça.
Béné : Je sais, moi aussi il m'a fait de la peine. Mais je sais que c'est fini, car je suis folle de toi.
Christophe : Répète , ça fait plaisir d'entendre ça.
Béné : Je suis folle de toi, Je me suis jamais senti aussi bien que dans tes bras.
Christophe l'embrassa : Et je me suis jamais senti aussi bien qu'avec toi. Bon maintenant tu veux partir où ma princesse.
Béné : Hum ma princesse , je sais pas si j'en suis une mais j'adore et toi tu es mon beau prince charmant.
Christophe : J'ai pas vraiment la tête d'un prince charmant, ou alors un prince rebelle peut être .
Béné : Ah oui c'est ça un prince rebelle, ça te va bien. Tu sais je partirais n'importe où avec toi.
Christophe : Moi aussi. Mais quelle destination te ferais le plus plaisir ?
Béné : On peut passer quelques jours en Bretagne
Christophe : et à Toulouse .
Béné : J'ai envie de te montrer les beaux petits coins de Bretagne, les belles plages.
Christophe : et moi j'ai envie de te montre toute la beauté de la ville de Toulouse et ses environs.
Béné : Voilà c'est décidé.
Christophe : Maintenant que c'est décidé. J'ai très mais alors très envie de t'embrasser.
Béné : Moi aussi.
Ils s'embrassèrent et en profitèrent pour se retrouver au lit.
Le lendemain, après avoir préparé les bagages de Christophe, ils passèrent à la maison , Béné prit ses affaires dans sa chambre, après avoir récupéré ses affaires, elle regarda une dernière fois la chambre qu'elle avait partagé avec José, c'était la fin d'une ère mais elle savait qu'elle avait pris la bonne décision. Ils passèrent à Alfredo's dirent au revoir aux filles. Les garçons arrivèrent plus tard, José était avec eux. Il leur souhaita bon voyage.
José avait fait bonne figure durant toute la journée mais le soir en rentrant à la maison , dans la chambre qui avait été leur chambre, il sanglota à nouveau. Il avait vraiment tout fichu en l'air.
Laly vint le voir. Elle prit José dans ses bras. Elle ne dit rien, elle savait que quoi qu'elle dise, ça ne changerait rien.
Christophe et Béné étaient heureux en Bretagne aprés être passé par Toulouse, ils adoraient faire des balades sur la plage de St-Malo,
Christophe : Tu avais raison, c'est vraiment beau ici. Merci de m'avoir fait découvrir ta Bretagne.
Béné : De rien mon amour.
Christophe la serra dans ses bras et l'embrassa : J'ai toujours l'impression de rêver quand je t'entends me dire ces mots.
Béné : Tu ne rêves pas.
Ils s'embrassèrent. Dans les bras l'un de l'autre, ils regardèrent l'océan. Ils avaient l'impression d'être seuls au monde. Ils étaient surs que tout irait bien et que personne ne viendrait les séparer.
FIN.