Auprés de toi ...

Auteur : Ze Lamelie
Série dont est tirée la fiction : Les Vacances de l'amour
Rating : tout public
Pairing : Béné/Nicolas
Disclaimer : les personnages appartiennent à Jean Luc Azoulay
Note : Cadeau pour l'opération de noel sur un autre forum



José avait choisit Jeanne, Béné était très mal, elle n'arrivait pas à dormir, elle prit la voiture et laissa Johanna dormir. Sa voiture la mena jusqu'à chez Nicolas.

Nicolas : Qu'est ce que tu fais là ?

Béné : J'arrivais pas à dormir, et je sais pas en conduisant , je suis venu directement ici.

Nicolas : Je vais te faire un café.

Elle s'installa sur la plage , Nicolas amena une tasse de café et l'enlaça, elle se mit à pleurer dans ses bras.

Béné : Mais pourquoi il la choisit elle ?

Nicolas : T'inquiète pas, il finira par s'apercevoir que tu es dix mille fois mieux qu'elle.

Béné : Je crois pas. Il a l'air bien accroché. Mais merci.

Nicolas : C'est sincère, tu es parfaite , belle , sincère , adorable , tu lui as toujours tout pardonné. Il est idiot de te laisser.

Béné : C'est gentil.

Elle finit par poser la tête sur son épaule,ils restèrent là un moment assis devant la mer, tous les deux. Elle finit par s'endormir dans les bras de Nicolas. Il la porta jusqu'à son lit. Il alla dormir sur le hamac. Il en voulait à José de la faire souffrir, et en même temps, il avait fait un choix, et le sentiments ne se commandent pas. Soudain, il entendit une voix qu'il l'appelait.

Béné : Nicolas ..

Nicolas se leva et retourna à l'intérieur de la cabane prés du lit : Béné qu'est ce qu'il y a ?

Béné : Je peux dormir dans tes bras s'il te plait.

Nicolas : Oui, bien sur.

Il s'installa à côté d'elle sur le lit, et il l'enlaça, elle finit par se rendormir dans ses bras. Il était troublé, jamais il n'avait été aussi proche de Bénédicte. Il finit par s'endormir encore troublé par le fait d'être si proche de Béné.

Le lendemain matin, Béné se réveilla, la première, elle regarda Nicolas, grâce à lui, elle avait pu dormir, elle s'était senti en sécurité comme elle ne l'avait pas été depuis longtemps. Une partie d'elle avait pas envie de se lever, elle avait envie de rester coincé entre ses bras et de ne plus jamais en sortir. Elle finit par se lever, elle se décida à préparer le café. Nicolas en la sentant s'éloigner, se réveilla.

Nicolas la regarda se levait et préparer le café : Salut , mais tu sais j'aurais pu le faire.

Béné : Non, tu m'as accueilli hier soir , je peux bien faire ça pour toi.

Nicolas s'approcha d'elle et lui mit la main sur l'épaule : C'est normal, Béné, tu es mon amie.

Béné : Oui, mais merci quand même d'être toujours là. Tu sais que tu m'avais manqué quand tu n'étais pas là.

Nicolas en souriant : J'espère bien

Béné  en souriant aussi : Et oui, tu es l'irremplaçable Nicolas.

Nicolas : C'est ça fou toi de moi.

Béné : J'oserais jamais voyons.

Nicolas : ça fait du bien de te voir rire , en tout cas.

Béné : Oui, et c'est grâce à toi.

Elle l'embrassa sur la joue.

Nicolas : Je sais pas si je mérite ça , j'ai fait qu'être ton ami.

Béné : Oui, mais justement tu as été un véritable ami. Merci vraiment. Bon, je vais pas tarder, à aller bosser au bar des filles. Merci encore.

Nicolas : Et moi à la marina. Je viens déjeuner à midi au bar.

Béné : D'accord à tout à l'heure.

Elle l'enlaça une dernière fois et lui fit la bise. Il la regarda partir, mais une partie de lui avait eu envie de la garder. Il n'avait pas envie de la laisser partir. Il … non , c'était juste son amie, il n'allait pas penser à plus.

Béné aussi avait eu envie de rester , juste avec lui, et même … mais non c'était son ami, il ne fallait pas penser à plus.

Au déjeuner, Nicolas s'installa à une table , il regarda Béné travaillait , il l'a trouvé tellement belle plus que la veille. C'était dingue, il était en train de tomber amoureux de sa meilleure amie.

Béné vint le voir : Alors , qu'est ce que tu veux manger ?

Nicolas :..... Le plat du jour ça ira

Béné s'éloigna, et lui apporta un peu plus tard, le plat du jour, de loin elle le regardait, elle le trouvait beau , mais non elle ne pouvait pas tomber amoureuse de lui.

A la fin de la journée , elle pensait rentrer chez elle, mais elle finit par arriver chez Nicolas.

Nicolas : Béné … qu'est ce que tu fais là ?

Béné : ….. Je ne sais pas , Je... voulais rentrer chez moi, mais j'ai conduit jusqu'ici.

Nicolas : …. Tu …as un problème ?

Béné : Non, je sais pas, … je ferais mieux de repartir.

Nicolas : Non, non … reste … Je... j'avais envie de te voir.

Béné : …. Moi aussi.

Ils se regardèrent et s'approchèrent l'un de l'autre, ils s'enlacèrent.

Béné : Je … suis tellement bien dans tes bras.

Nicolas : … Moi aussi.

Ils s'embrassèrent longuement intensément, il la souleva de terre et l'emmena à l'intérieur de la cabane. Ils se déshabillèrent et leurs corps se découvrirent pour la première fois. Tendrement, intensément, ils ne firent plus qu'un. Au petit matin, Béné se réveilla, elle regarda l'homme allongé à côté d'elle, jamais elle n'aurait imaginé, que ça finirait comme ça. Jamais elle n'aurait pensé avant que c'était possible. Mais plus elle regardait Nicolas, plus elle savait que c'était lui. Jamais elle n'avait ressenti ça aussi fort pour personne. Elle embrassa les lèvres de Nicolas, il se reveilla.

Nicolas : J'ai l'impression de rêver.

Béné : je rêve moi aussi alors.

Nicolas : Un très joli rêve.

Il l'embrassa à son tour et à nouveaux leurs corps ne firent plus qu'un, comme s'ils voulaient rattraper le temps perdu.

Béné : J'ai du mal à y croire.

Nicolas : Moi aussi.

Béné : Faut que je me lève et que j'aille bossé , Johanna va se demander ou je suis passé ?

Nicolas : Oui, et moi, les autres vont aussi se demander ce que je fais à la marina.

Béné : Mais j'ai pas envie de te quitter …

Nicolas : Moi non plus.

Ils restèrent enlacés au lit, longuement, ils ne pouvaient se détaché l'un de l'autre.

José, Jeanne et Johanna débarquèrent à la cabane et les trouvèrent endormis et enlacés. Ils ne dirent rien et partir, José avait eu envie de les réveillé mais Jeanne et Johanna l'en avait empêché.

Les amoureux ne vivent qu'à deux et seuls au monde.

FIN.