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 Réapprends moi à aimer

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Ze Lamélie
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Ze Lamélie


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MessageSujet: Réapprends moi à aimer   Réapprends moi à aimer EmptyMar 29 Mar - 16:14

Réapprends-moi à aimer




Réapprends moi à aimer 767224signareapprendsaimer


Auteur : Ze Lamélie
Série dont est tirée la fiction : Le miracle de l'amour
Rating : tout public
Disclaimer : les personnages appartiennent à Jean Luc Azoulay

Laly était partie avec Bertrand loin de Paris, loin des autres. Elle avait décidé que pour elle c’était une nouvelle vie loin de ses amis. Elle devait tourner la page.

Sébastien était malheureux comme les pierres. Il sortait à peine de sa chambre. Il pleurait jour et nuit ou restait prostré. José essayait de le secouer de lui dire que de toute façon Laly était trop folle et n’était pas faite pour lui. Mais il ne comprenait pas, il ne pouvait pas comprendre combien il avait aimé Laly et combien la perdre lui faisait mal. Aucun de ces amis d’ailleurs ne comprenait car il n’avait jamais vécu ça.

Il était sur le bord de la Seine, à deux doigts de sauter soudain il sentit une main sur son épaule. C’était Manuela.

Sébastien : Comment m’as-tu retrouvé ?

Manuela : Parce que j’ai vécu la même chose que toi, même si j’en ai parlé à personne. Quand Bruno est parti, j’étais mal très mal surtout qu’il était parti avec une autre que je l’avais vu avec elle. J’ai aussi voulu mettre fin à mes jours comme lorsqu’il y a eu l’histoire des photos mais avec le temps j’ai réussi à me dire que ce n’était certainement pas lui l’homme de ma vie. Tu vas avoir besoin de temps Sébastien mais on est tous là pour te soutenir. Un jour tu trouveras à nouveau la femme de ta vie celle qui te donnera de beaux enfants. Ne gâche pas tout maintenant.

Sébastien regarda Manuela. Il n’avait jamais rien su de ce qu’elle avait traversé et en cet instant, il l’a trouvé courageuse et forte. Il l’a trouvé tellement plus forte que lui. Il la remercia de lui avoir confié son secret et de l’avoir aidé. Il l’embrassa sur le front et la suivit jusqu’à la maison.

Il alla dans sa chambre directement en rentrant il mit les photos de Laly et lui dans une boite et la rangea. Manuela avait raison il devait aller de l’avant. Il aimait toujours Laly mais il savait aujourd’hui que c’était fini. Cette nuit là, il ne pleura pas. Il ne pensa pas à Laly. Il dormit d’un sommeil sans nuages.

Le lendemain il alla dans la salle de bain avec Nico et José et plaisanta avec eux. José était heureux de retrouver Sébastien. Ils descendirent pour le petit déjeuner, les filles avaient tout préparé. Sébastien prit place prés de Manuela. Il lui dit tout bas pour que personne ne l’entende « Merci ». Et elle lui répondit « De rien ». Personne ne remarqua leur échange.

Sébastien dit aux garçons qu’il avait une course à faire avant d’aller répéter au garage, qu’il les rejoindrait. Une fois les garçons partis, il attendit d’être seul avec Manuela.

Sébastien : Manuela, je voudrais pour te remercier t’emmener en moto pour tes photos.

Manuela : Mais tu n’es pas obligé, ce que j’ai fait je l’ai fait par amitié.

Sébastien : Oui, mais j’en ai envie.

Manuela : Ok, d’accord on y va.

Sébastien et Manuela partirent donc à moto. Manuela serrait ses bras autour de Sébastien et était penché contre lui. Elle se sentait en sécurité avec lui. Sébastien se sentait bien lui aussi. Il la déposa devant le studio photo.

Manuela : Merci de m’avoir déposé.

Sébastien : De rien ça m’a fait plaisir.

Manuela : Bon je dois y aller.

Ils voulurent se faire la bise sur la joue mais leurs lèvres se frôlèrent. Manuela se détacha de Sébastien et partit. Sébastien la regarda partir ne comprenant pas ce qui s’était passé. Il se remit en route et rejoins les autres au garage.

Il répéta avec les autres mais pendant qu’il répétait il pensait à Manuela à sa gentillesse et à ce qui s’était passé. Elle était partie tellement vite. Il avait peur pour leur amitié. Elle était trop importante pour lui.

Manuela aussi pensait à Sébastien, elle repensait elle aussi à ce qui s’était passé. Pourquoi elle était partie aussi vite ? Elle avait peur de perdre leur amitié s’il se passait quelque chose entre eux.

Après ses photos, elle rejoignit les filles à la cafèt et plus tard elles rejoignirent les garçons au garage.

Sébastien et Manuela était mal à l’aise. Mais parfois les regards de Manuela et Sébastien se croisaient et aucun de deux n’avait envie de se détacher du regard de l’autre. Cela n’échappa pas à Linda.

Elle prit Manuela à part : Il se passe quelque chose avec Sébastien.

Manuela : Non, c’est un ami c’est tout pourquoi tu dis ça ?

Linda : J’ai surpris des regards entre vous.

Manuela : A vrai dire, ce matin il m’a emmené pour mes photos pour me remercier pour l’avoir aider et en me disant au revoir nos lèvres se sont frôlées. Mais c’était un accident et c’est juste un ami.

Linda : D’accord. Mais tu sais il est libre maintenant et tu ne trouverais pas mieux que lui. Et en voyant tes yeux quand tu parles de lui. Je pense qu’il y a plus entre vous que ce que tu veux bien en dire.

Manuela : Je ne sais pas, ne sais plus. Je n’ai pas envie de perdre un ami.

Linda : Tu ne le perdras pas, regarde nous on est encore amis non. Alors ne risque pas de passer à coté d’une belle histoire par peur.

Manuela : Tu as raison. Mais peut-être qu’il ressent rien pour moi.

Linda : Vu son regard pendant la répèt j’en doute je pense qu’il a des sentiments aussi. Essayez, je ne dirais rien aux autres. Mais si vous pouvez être heureux ensemble je serais la plus heureuse.

Manuela serra fort Linda : Je t’adore ma belle. Merci.

Le soir même.

Manuela attendit que tout le monde soit couché puis frappa à la porte de Sébastien.

Sébastien : Qui est-ce ?

Manuela : C’est moi, Manuela. Je peux entrer, je veux te parler.

Sébastien : Oui, tu peux entrer.

Sébastien avait peur de ce que Manuela allait lui dire.

Manuela poussa la porte et entra. Manuela ne savait pas par où commencer ni quoi dire.

Manuela : J’avais besoin de te parler de ce qui s’est passé ce matin.

Sébastien : Tu sais c’est déjà oublié.

Manuela : Je ne te crois pas car moi je n’ai pas oublié.

Sébastien : Mais …Je …

Manuela : Je sais, tu ne sais pas ou tu en es moi non plus mais je sais que ce que j’ai ressenti ce matin même si ça me fait peur. Je ne peux pas le passer sous silence.

Sébastien : Tu crois vraiment que c’est possible.

Manuela : Je n’en sais rien.

Sébastien : Je ne suis pas prêt. Laly m’a fait trop souffrir.

Manuela : Je sais mais sache que je suis là et que je veux croire que c’est possible. J’espère pouvoir te faire oublier ta souffrance.

Sébastien : J’aimerais que tu me la fasses oublier. J’aimerais que tu me réapprennes à aimer. Oui réapprends-moi à aimer.

Manuela : J’essaierais...j’essaierais.

Il s’approcha de Manuela tout doucement et elle aussi s’approcha de lui. Ils s’enlacèrent et il lui embrassa les cheveux. Puis elle releva sa tête et il embrassa ses lèvres tout doucement timidement. Et ils se séparèrent, Manuela regagna sa chambre.

Le lendemain

Manuela et Sébastien firent comme si rien ne s’était passé. Mais tous les deux attendirent que les autres partent pour se retrouver seuls.

Sébastien : Je t’emmène en balade ?

Manuela : D’accord, j’adore être derrière toi sur ta moto.

Sébastien : Et Moi, j’adore quand tu es derrière moi sur ma moto.

Manuela : Bon, alors on va ou ?

Sébastien : C’est une surprise.

Manuela : J’adore les surprises.

Sébastien l’emmena en dehors de la ville, ils roulèrent longtemps mais Manuela serrait contre Sébastien n’avait pas peur. Sébastien aimer sentir Manuela serrait contre lui. Pour l’instant il ne savait pas encore s’il l’aimait mais il savait qu’il avait besoin d’elle et c’était tout ce qui comptait.

Il l’emmena dans un endroit qui comptait beaucoup pour lui. C’était au bord d’une rivière, entouré d’arbres centenaires. C’était un endroit apaisant, bucolique ou le seul son qu’on entendait était le son de l’eau de la rivière qui coulait et les feuilles qui bougeaient grâce au vent. Sébastien aida Manuela à descendre de moto et ils s’assirent tous les deux sur une pierre posé en bordure de la rivière.

Le silence s’installa entre eux, ils regardèrent ce paysage et ils n’osaient pas rompre le silence et la magie du lieu.

Sébastien finit par rompre le silence : Manuela, voilà je t’ai amené ici car cet endroit m’apaise et je m’y sens bien comme apaisé.

Manuela : C’est magnifique ici, tu as raison.

Sébastien : Je n’y avais encore jamais amené personne même pas Laly car j’étais sur qu’elle ne comprendrait pas la beauté du lieu ni pourquoi il était aussi important pour moi. Et je t’y ai amené car je suis sur que tu comprends tout ce que représente la beauté de ce lieu.

Manuela : Oh Sébastien.

Elle se pencha vers lui et l’embrassa. Il l’embrassa à son tour et l’enlaça. Ils restèrent longtemps enlacés comme ça à regardé le paysage. Aucun des deux n’avaient envie de s’en aller, de rompre la magie de ce moment en dehors de la réalité et pourtant ils devaient rejoindre les autres qui étaient certainement en train de se demander ou ils étaient passés.

Ils rentrèrent donc sur Paris. Sébastien déposa Manuela au studio pendant que lui allait répéter avec les garçons. Ils se demandaient évidemment quelle excuse il allait devoir trouvé pour arrivé si tard.

Sébastien arriva au garage.

José : Ah ben ce n’est pas trop tôt, tu étais où encore ?
Sébastien : Je suis tombé en panne avec ma moto et je n’ai pas pu vous téléphoné pour vous dire que je serais en retard le temps d’aller au garage.

José : Ok.

Ils répétèrent toute la fin de la journée.

Le soir, Manuela et Sébastien continuèrent de faire comme si de rien n’était, seul Linda se rendait compte de leurs regards.

Le lendemain grâce à Linda ils purent à nouveau se retrouver tout seuls.

Manuela : Aujourd’hui, c’est à moi de t’emmener dans un endroit particulier pour moi.

Sébastien : Tu es sur, tu sais si tu ne veux pas je peux comprendre on peut attendre.

Manuela : Tu m’as demandé de réapprendre à aimer et ça passe aussi par la confiance et de se dévoiler soi-même et le partage. Tu as dévoilé une partie de toi hier à moi aujourd’hui de dévoiler une partie de moi.

Sébastien : Je t’adore.

Manuela : Je t’adore aussi et c’est pour ça que tu vas venir avec moi.

Sébastien : D’accord je te suis.

Ils allèrent en moto jusqu’au Canal St Martin. Manuela demanda à Sébastien de s’arrêter au bord du Canal. Ils descendirent de moto puis Manuela pris la main de Sébastien, elle l’emmena vers le pont suspendu qui traversait le canal. Ils montèrent sur le pont et là elle s’arrêta et regarda ce qui s’étendait devant eux. Sébastien se mit à coté d’elle et regarda aussi.

Manuela : Voilà mon endroit à moi j’aime bien venir ici et regarder le canal, l’eau un peu comme toi quand je ne vais pas bien ou que j’ai besoin de m’échapper.

Sébastien : C’est un très bel endroit, je comprends pourquoi tu me comprenais si bien, cet endroit ressemble beaucoup au mien l’eau et on n’a pas l’impression d’être à paris c’est très calme.

Manuela : Oui, c’est très calme et tu es le seul à connaitre cet endroit même Linda ne le connaît pas.

Il lui prit la main et rapprocha Manuela de lui, il la serra dans ses bras. Puis il se pencha vers elle et l’embrassa d’un baiser encore plus fort que ceux qu’ils avaient échangés jusque là. Plus ils passaient du temps ensemble, plus leurs sentiments s’intensifiaient. Sébastien réapprenez à aimer, il avait de moins en moins peur de souffrir. Manuela n’attendait que les moments seuls avec lui.

Après le canal Saint Martin ils se promenèrent un peu tous les deux. Sébastien avait le bras qui entourait Manuela. Il était heureux et aurait aimé que cette journée ne finisse jamais. Ils allèrent après diner dans un tout petit restaurant ou le restaurateur les accueilli avec chaleur et les installa dans un petit coin retiré du restaurant. Ils leur dit que c’était le coin des amoureux.

Sébastien : Merci Manuela, d’être là, d’être celle que jamais j’aurais pensé aimer et qui pourtant me montre combien la vie est belle, tu es devenue tout à la fois ma meilleure amie, la femme que j’aime, oui je t’aime. Je ne pensais pas que ce serait possible si vite surtout mais je t’aime. Tu m’as réappris à aimer.

Manuela touchée au cœur et avec les larmes aux yeux répondit : Je t’aime aussi.

Après avoir dîner, ils rentrèrent à la maison. Linda les attendant avant qu’il rentre pour que les autres ne se doutent de rien. Ils préféraient encore attendre avant d’avouer leur relation aux autres. Elle était trop fraîche ils avaient peur de se tromper.

Ils continuèrent donc de se cacher ainsi pendant quelques mois. Un jour alors qu’ils se promenaient sur les quais.

Sébastien : Et si on partait en vacances tous les deux, on aurait plus besoin de se cacher.

Manuela : Ah oui mais on irait où ?

Sébastien : Oh n’importe où du moment que je suis avec toi ?

Manuela : Moi aussi.

Sébastien serra un peu plus Manuela dans ses bras : J’ai une idée et si on allé dans la ville des amoureux.

Manuela : Tu veux dire Venise ?

Sébastien : Oui exactement.

Manuela : Hum, j’ai toujours rêvé d’aller en Italie et de voir cette ville, le pont des soupirs, d’être dans une gondole dans les bras de l’homme que j’aime. Alors Oui j’adorerais partir avec toi là-bas.

Sébastien (tout en sortant les billets de sa poche) : Et si je te disais que j’ai déjà réservé les billets et que l’on part la semaine prochaine.

Manuela : Je dis que je t’aime et que j’ai hâte d’y être.

Elle l’embrassa.

Une semaine plus tard ils avaient dit aux autres qu’ils partaient chacun chez leurs parents, José avait bien remarqué qu’ils partaient en même temps et que c’était bizarre mais aucun des autres n’avaient relevé. Avec la complicité de Linda ils firent donc croire qu’ils partaient chez leurs parents et elle les accompagna à l’aéroport. Elle était tellement heureuse pour eux. Elle ne les avaient jamais vus aussi épanouis que depuis qu’ils étaient ensemble.

A Venise

Manuela et Sébastien arrivèrent et prirent possession de leur chambre d’hôtel et Manuela alla directement à la fenêtre pour voir la vue, la vue était magnifique. Le pont de soupirs et le canal qui passait dans la ville s’étendait en dessous d’eux. Manuela avait du mal à croire qu’elle était dans la ville des amoureux. Elle vit au loin, une gondole passait avec des amoureux qui s’embrassaient. Sébastien qui avait posé les valises s’approcha et se mit derrière elle puis passa ses bras autour de sa taille.

Sébastien : Alors ça te plait ?

Manuela : C’est magnifique, j’ai du mal à y croire.

Sébastien : Et si pourtant on est là.

Elle se retourna pour l’embrasser. Le baiser fut de plus en plus passionné et ils tombèrent sur le lit. Ils se déshabillèrent et firent l’amour.

Sébastien regardait Manuela dormir, jamais quand il avait été avec Laly, il n’aurait imaginé être un jour avec elle et pourtant aujourd’hui. Il l’aimait plus que tout. Elle était à la fois celle qu’il aimait mais aussi sa meilleure amie. Elle lui avait réappris à aimer … Non, elle lui avait appris à aimer tout court. Car c’est comme s’il n’avait jamais aimé avant elle.

Elle se réveilla et le regarda. Le visage de Manuela s’illumina, elle se réveillait dans les bras de l’homme qu’elle aimait la tête contre son torse. Elle l’embrassa et regarda par la fenêtre le jour était levé et le soleil était déjà haut dans le ciel. Mais non elle n’avait pas envie de quitter les bras de Sébastien. Elle était trop heureuse de pouvoir enfin passer du temps avec Sébastien sans risque que les autres les surprennent. Ce qu’ils vivaient été tellement à eux qu’ils n’avaient pour l’instant aucune envie de le partager même avec leurs amis.

Sébastien : Manue, il faudrait qu’on se lève tu ne crois pas ?

Manuela : Je n’ai pas envie, je suis trop bien dans tes bras.

Sébastien : Moi aussi, mais il faudrait profiter de Venise quand même.

Manuela : D’accord je me lève mais tu viens prendre ta douche avec moi.

Sébastien en l’embrassant dans les cheveux : Evidemment, je ne voyais pas les choses autrement.

Ils se levèrent en riant et prirent leur douche. Ils partirent après faire un tour de Venise, ils se retrouvèrent sur le pont des Soupirs.

Sébastien : Tu sais ce que ça me rappelle ?

Manuela : Mon endroit à Paris et un de nos premiers moments ensemble et le jour ou tu m’as dit la première fois que tu m’aimais. Je m’en souviens comme si c’était hier.

Sébastien : Moi aussi.

Ils s’embrassèrent à nouveau. Après Sébastien emmena Manuela pour faire un tour de gondole. Serrès l’un contre l’autre dans la gondole à voir Venise vu de l’eau c’est comme si le temps c’était arrêté la ville était belle au fil de l’eau. Ils n’entendaient plus que le clapotis de l’eau contre la gondole qui avançait. Tous les deux auraient aimé que ce tour de gondole dure plus longtemps.

Les vacances passèrent très vite pour nos deux amoureux. Ils durent déjà rentrés. Dans l’avion qui les ramenait vers Paris, tous les deux étaient conscients que leurs vacances s’arrêtaient et ils savaient qu’ils ne pourraient plus faire comme si ils n’y avaient rien entre eux. Ils allaient devoir leur dire. Ils avaient peur de leur réaction et en même temps ils étaient surs de ce qu’ils ressentaient.

Linda vint les chercher à l’aéroport.

Linda : Je ne vous demande même pas comment était vos vacances, vous êtes encore plus amoureux qu’en partant ça se voit.

Manuela et Sébastien se regardèrent ça les renforçaient dans leur décision de tout dire aux autres pour leur couple.

Sébastien : Oui, d’ailleurs on va tout dire aux autres pour nous deux.

Linda : Ah je suis contente et je suis sur qu’ils seront contents pour vous.

Manuela : J’ai peur qu’ils nous en veuillent de pas leur en avoir parlé avant.

Linda : Mais non ils vous en voudront pas, ils comprendront qu’il fallait laisser faire le temps. Ils comprendront que vous vouliez être sur de vous de ce que vous viviez tous les deux.

Sébastien : J’espère.

Ils rentrèrent donc à la maison, Manuela et Sébastien se tenaient les mains, stressés par la réaction qu’auraient leurs amis. Ils se donnaient de la force. Ils poussèrent la porte.

Là, tous leurs amis étaient là en hurlant : Surprise !! Accroché au mur il y avait une banderole « Bon retour, les amoureux ! »

Sébastien et Manuela regardèrent Linda.

Linda : Je leur ai rien dit, je vous jure. Ils ont devinés.

Béné : Oui je vous jure que c’est vrai. Elle ne nous a rien dit mais on a devinés, on voyait vos regards, vous vous échappiez souvent ensemble. Et on est très content pour vous.

José : Oui, je voulais vous en parlez mais Béné m’a convaincu de ne pas le faire et que vous nous en parlerez le moment venu.

Sébastien : On vous adore. Merci à tous.

Manuela était heureuse et émue, elle avait la tête contre l’épaule de Sébastien et Sébastien la serrait. Ils ne s’attendaient pas à cet accueil mais ils en étaient heureux.
Les autres les félicitèrent chaleureusement.

Quelques mois plus tard alors que la vie s’écoulait et qu’ils étaient heureux. Manuela commença à se sentir pas très bien, avoir des vertiges. Elle alla donc chez le médecin, elle n’en avait pas parlé à Sébastien ne voulant pas l’inquiéter. Le médecin lui prescrit des analyses mais il pensait qu’elle était enceinte. Ils en sauraient plus après les analyses.

Manuela en sortant du médecin était sous le choc enceinte ... Elle était peut-être enceinte. Elle toucha son ventre. Peut-être qu’un petit être grandissait à l’intérieur. Un petit bout d’elle et de Sébastien. Elle n’aurait jamais imaginé si tôt. Mais elle était heureuse. Elle attendrait les analyses avant d’en parler à Sébastien mais elle espérait qu’il serait aussi heureux qu’elle. Surtout qu’ils n’en avaient encore jamais parlé.

De son coté, Sébastien ne se doutait pas du tout de ce que Manuela allait lui apprendre, il était tout à chercher une bague de fiançailles dans un grand bijoutier. Il avait mis Linda dans la confidence. Elle l’aidait à choisir. Il finit par choisir une très belle bague sertie de diamants avec une améthyste au milieu. Linda était certaine qu’elle l’adorerait et lui aussi.

Linda garda la bague dans sa chambre pour que Manuela ne la trouve pas. Sébastien ferait sa demande dans quelques jours. Le jour où ils s’étaient avoué leur amour, il l’inviterait au restaurant de leur premier rendez-vous et il lui demanderait sa main.

Manuela ne se doutait de rien, quelques jours plus tard elle alla donc chercher ses analyses. Elles étaient formelles, elle était bien enceinte. En sortant du rendez-vous, devant un magasin de bébé, elle acheta des petits chaussons blancs de bébé. Elle les offrirait à Sébastien lors du diner d’anniversaire de leur amour. Elle espérait qu’il serait aussi heureux qu’elle.

Le jour du diner arriva. Manuela se prépara elle voulait se faire belle pour celui qu’elle aimait. Elle mit une longue robe noire qui dessinait très bien sa silhouette et un simple collier de perles. Elle se maquilla comme elle le faisait toujours ni trop ni trop peu. Elle était nerveuse, elle avait mis les chaussons dans son sac. Elle espérait que Sébastien réagirait comme elle espérait. Elle toucha à nouveau son ventre sentant déjà le petit être qui grandissait en elle.

Sébastien lui aussi se préparait, Linda lui avait rendu la bague et il l’a mit dans la poche de sa veste. Il avait mis un beau costume, il avait hâte et peur à la fois. Peur que Manuela lui dise non. Il savait qu’elle l’aimait mais est-ce qu’elle était prête pour le mariage ça faisait pas si longtemps que ça qu’ils étaient ensemble. Mais il était sur que c’était elle, la femme de sa vie. Et Sébastien n’eut plus aucun doute quand il l’a vit descendre les escaliers c’était elle … uniquement elle.

José : Amusez-vous bien les amoureux et soyez sages … ou pas.

Ils rigolèrent.

Le diner se passa bien, tout le long du diner néanmoins Sébastien fut nerveux mettant sans arrêt la main à la poche de sa veste dés que Manuela ne regardait pas. Avant le dessert, il partit aux toilettes pour se calmer et prendre son courage à deux mains. Pendant ce temps Manuela en profita pour sortir de son sac, les chaussons et les mettre sur l’assiette de Sébastien.

Sébastien revint quand il vit les chaussons sur son assiette, il regarda Manuela et il comprit qu’il allait être papa. Il l’obligea à se lever et la serra dans ses bras. Il la souleva, il était heureux, jamais il n’aurait imaginé être aussi heureux. Il finit par la lâcher et il la regarda dans les yeux. Elle aussi été heureuse d’être mère.

Sébastien : Oh ma chérie, c’est le plus beau jour de ma vie, je vais être papa. J’y crois pas mais je suis tellement heureux.

Manuela : Tu es sur, tu es vraiment heureux.

Sébastien : Mais bien sur, si je t’avais invité ce soir ici en ce jour c’était pour te faire une demande bien particulière.

Et il s’agenouilla et sortit la bague de sa poche. Manuela avait compris, elle était très ému.

Sébastien : Voilà ma chérie cela fait des années que nous nous connaissons mais seulement un an qu’on est plus que des amies, que l’on est des amants, des âmes sœurs, que l’on s’aime vraiment et je ne vois pas ma vie sans toi à mes cotés. Tu viens de me le prouver, alors veux-tu être ma femme ?

Manuela : Oui, oui, oui. Je t’aime et je veux être ta femme.

Tout autour d’eux, les gens qui dinaient au restaurant, applaudissent.

A la fin de la soirée, ils rentrèrent à la maison. Le lendemain, Ils annoncèrent la nouvelle aux autres. Ils étaient tous heureux pour eux.

Quelques mois plus tard alors que Manuela était enceinte de 5 mois, le mariage eu lieu. Un mariage simple avec seulement leurs amis et leur famille. Linda était témoin de Manuela tandis que José était le témoin de Sébastien. Dans la petite mairie, ou quelques rubans bleus et blancs décorés l’allée. Manuela remontait l’allée, son ventre rebondit dans sa belle robe blanche témoignait de l’amour qui l’unissait à Sébastien ainsi que ses yeux qui brillaient. Tout comme les yeux de Sébastien brillaient. Ils dirent oui tous les deux. Et ils s’embrassèrent d’un baiser qui voulait dire que leur amour durerait toujours.

Plus tard ils avaient eu la cafèt pour la fête et les garçons avaient amené leurs instruments pour faire la fête. Alors que la fête battait son plein. Sébastien ainsi qu’Hélène montèrent sur l’estrade installé pour l’occasion pour une chanson.

Hélène :
Ils donneraient tout
Pour que leur histoire traverse la nuit
Pour qu'enfin l'amour passe à l'histoire
Ils s'aiment
Mais ils se demandent si cela suffit
Il faut tellement d'amour, tellement d'espoir

Une vie qui s'éprend d'une autre vie
C'est une fleur après la pluie
Un feu dans le noir

Hélène et Sébastien :
Ce soir
Le monde est tout près du bonheur
Il tient sur son coeur
Deux amoureux aux yeux remplis d'espoir
Le monde est tout près du bonheur
Au bout de la nuit il y a la vie
Qui nous rapproche un peu plus l'un de l'autre

Sébastien :
Je ferais tout
Pour que notre histoire échappe à l'ennui
Au-delà des murs du temps qui passe
Je t'aime
Et je n'sais jamais si cela suffit
J'ai si peur qu'un jour l'amour se lasse

Tout'ma vie
Je l'ai voulue dans ta vie
Et voilà que dans un cri
Un enfant vient de naître


Hélène et Sébastien :
Ce soir
Le monde est tout près du bonheur
Il tient sur son coeur
Deux amoureux aux yeux remplis d'espoir
Le monde est tout près du bonheur
Au bout de la nuit il y a la vie
Qui nous rapproche un peu plus l'un de l'autre
Le monde est tout près du bonheur
Ce soir le monde…
Le monde est tout près du bonheur
Tout près du bonheur
Le monde est prêt pour le bonheur


Hélène :
Ils donneraient tout
Pour que cette histoire traverse la nuit
Qu'au bout des fusils poussent des fleurs
Ils s'aiment
Tenant dans leurs bras l'amour de leur vie
Endormi tout près du bonheur


https://www.youtube.com/watch?v=zaEiJ1xy0Ro

Manuela était émue, en touchant son ventre. Sébastien aussi était ému. Cette chanson, Hélène la leur avait écrite en cadeau et elle avait écrit exactement ce qu’il ressentait. C’était un magnifique cadeau qu’elle leurs avaient fait et que Nicolas leur avait fait en écrivant la musique. La fête s’acheva un peu plus tard.

Quelques mois plus tard Manuela donna naissance à une magnifique fille prénommée Léna. La petite fille faisait le bonheur de ses parents. La petite famille avait décidé d’avoir leur petit chez eux pas très loin de la bande. Voilà tout allez bien.

L’amour s’apprend et se partage au fil du temps…
FIN

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